Cultiver les semences de l’avenir
« Comme entreprise internationale, notre objectif consiste à intégrer un maximum de potentiel dans chaque semence, qu’il s’agisse de caractéristiques agronomiques, de potentiel génétique ou de tolérance aux ravageurs. Quand un producteur ouvre un sac de semences, il sait donc qu’il peut atteindre son plein potentiel de rendement, » déclare Bryce Eger, vice-président de Corteva Agriscience, chargé de la recherche et du développement des semences.
Bryce Eger est responsable des innovations en matière de semences et de la stratégie de gestion de Corteva. Il décrit son rôle comme étant « celui d’investir pour donner vie à des idées qui offriront de bonnes occasions aux producteurs. » Cela inclut notamment d’aider à prendre des décisions stratégiques et à réaliser des investissements dans le développement de semences et de cultures. Cet exercice englobe tous les aspects de l’évolution des ensembles de caractères, des programmes mondiaux de sélection des cultures, de la biotechnologie et de la science, de la prise de décision, comme l’intelligence artificielle.
La tâche n’a rien de facile, surtout lorsqu’il s’agit de prévoir ce qui sera nécessaire dans plus de dix ans. Bryce Eger explique que, comme la mise sur le marché de nouveaux produits de semences peut prendre près d’une décennie, chaque décision exige de la souplesse et des options pour s’assurer que les semences de l’avenir satisfassent les besoins des producteurs.
Les produits de semences de Corteva sont cultivés dans le monde entier. Bryce Eger doit suivre de près les besoins des producteurs de toutes les régions agricoles. Il lui faut également se tenir au courant des événements, des tendances et des influences à l’échelle mondiale. Il explique comment la géopolitique et les différents environnements en matière de réglementation des pays du monde entier doivent être pris en compte au moment d’investir en innovation et en développement des semences. L’évolution du flux des échanges commerciaux, des réseaux d’approvisionnement et des préférences des consommateurs influence également les décisions de l’entreprise en matière de recherche et de développement.
Fier Canadien, Bryce Eger souligne que l’agriculture de ce pays joue un rôle de pionnier sur la scène mondiale. En tant que chef de file, elle accepte le changement et les nouvelles opportunités. Elle se fait la championne de l’agriculture durable.
« Mon travail consiste à maximiser la productivité des producteurs. Je suis fier de contribuer à la croissance et à la durabilité de notre industrie ici au Canada et dans le monde entier, » déclare Bryce Eger. Il explique avec fierté : « Chaque étape du processus de recherche et de développement contribue à la productivité de l’exploitation d’un producteur et à notre capacité collective à créer de la vie pour les gens grâce à la production alimentaire. »
Améliorer la productivité de la culture
En tant que responsable de l’image de marque des produits biologiques et de l’expérience client pour Corteva Agriscience, Joanne Hewitson s’efforce de maintenir la compétitivité des producteurs Canadiens en leur donnant accès aux meilleurs outils et informations disponibles.
« J’ai toujours eu à cœur d’aider les producteurs à réussir. C’est un privilège de travailler dans un espace aussi passionnant et nouveau, ça me permet de servir les producteurs avec ce qui me semble être la prochaine grande opportunité en agriculture, les produits biologiques, » déclare Joanne Hewitson.
L’industrie vit encore en phase d’apprentissage lorsqu’il s’agit de réaliser le potentiel des produits biologiques. Assise aux premières loges, Joanne Hewitson constate l’impact des produits biologiques dans les pays du monde entier. « Mon travail consiste à adopter une perspective globale, à examiner ce qui se passe dans le monde, ainsi qu’à le rendre pertinent pour les producteurs à l’échelle locale, » explique-t-elle. Elle ajoute : « Nous voyons directement comment les produits biologiques peuvent aider à maximiser le potentiel de rendement. Ils renforcent la capacité de la plante à utiliser efficacement le sol, les nutriments, l’eau et la lumière du soleil disponibles. Ou encore, ils aident les plantes à se protéger des ravageurs et des maladies. » Joanne Hewitson et son équipe peuvent s’inspirer des résultats et des informations obtenus dans d’autres régions de culture afin d’en faire profiter les producteurs du Canada.
Selon elle, l’acquisition de Stoller et Symborg l’année dernière, confirme que Corteva Agriscience est en train de constituer un incroyable portefeuille de produits biologiques. Ceux-ci peuvent aider les producteurs à améliorer les performances de leurs cultures. Ces produits offrent de nombreuses possibilités aux producteurs. Mentionnons l’amélioration de l’absorption et de l’efficacité d’utilisation des nutriments, la résistance des cultures et l’amélioration de leur capacité à gérer les facteurs de stress abiotiques. S’y ajoute la protection contre les ravageurs et les maladies. « Les produits biologiques peuvent contribuer à protéger le potentiel de rendement et de performance des cultures, quel que soit l’endroit où l’on pratique l’agriculture dans le monde, » note Joanne Hewitson. Son travail consiste à s’assurer que les producteurs comprennent comment les produits peuvent s’intégrer dans leurs programmes de production végétale et fonctionner sur leurs exploitations.
Travaillant à l’échelle mondiale, Joanne Hewitson suit également l’impact des tendances sur la production végétale et les pratiques agricoles. Elle garde aussi un œil sur la manière dont les nouvelles possibilités offertes par le marché biologique peuvent aider à gérer les défis et les opportunités. Qu’il s’agisse des pressions croissantes exercées par les consommateurs ou des phénomènes météorologiques extrêmes, son travail nécessite qu’elle comprenne l’impact de ces phénomènes sur les producteurs de ces régions et leur effet probable sur les producteurs Canadiens. « J’ai l’occasion d’apprendre des autres régions du monde, tout en représentant le Canada dans le débat mondial sur la protection des cultures, » dit-elle fièrement. Elle conclut : « Les producteurs Canadiens bénéficient d’expériences mondiales en matière de produits biologiques. Ils les aideront à améliorer la durabilité et le succès de leurs cultures et de leurs entreprises. »
